Psycho : mots qui blessent ou tuent

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Qui ne se souvient pas d’un mot ou d’une phrase qui l’a marqué même s’il a été dit une seule fois ? Qui ne se souvient pas d’un sentiment d’injustice d’une phrase injuste ou inexpliquée comme celle développé dans une autre page, nous jetant un Pas comme ça ! et reprise encore bien trop souvent par de mauvais pédagogues.

Que dire de ces mots répétés par une personne mal intentionnée comme celui d’un narcissique qui s’imprègnent empêchant de revenir à une confiance en soi ?

Mais que dire également de ces mots sociétaux répétés par l’entourage mais également par l’ensemble des intervenants médias ou autres artistes littéraires ou cinématographiques ? Que dire de celui qui entend fréquemment des phrases telles que : Il est où ton père ? As-tu connu tes parents ? Dans le cadre des familles monoparentales ou adoptives ? Que dire si la justice et les pédagogues entretiennent ces termes même quand le géniteur n’a jamais joué de rôle parental ? Comment voulez-vous que l’adolescent en recherche identitaire ne cherche pas ses origines ou qu’il définisse qu’il ne peut être bien sans avoir été reconnu par ceux qu’il pense devoir laisser en rang 1 surtout s’il s’est laissé convaincre par une comparaison du malheur d’un groupe souffrant ou par des centaines de séries et de films montrant l’adopté ou l’abandonné n’être épanoui qu’au moment des retrouvailles ou après avoir découpé quelques corps de femme en tant que tueurs en série. Environ 1/3 de leurs tueurs ont été abandonnés, un autre tiers ont été martyrisés et les autres sont juste de gros frustrés

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Que dire de ce terme totalement incongru de mère célibataire qui n’a de sens quand on comprend l’implication de ce qu’il pourrait enclencher sur le besoin de recherche identitaire d’autres adolescents nés par insémination. Une gestatrice correspond bien mieux à la réalité et permet d’éviter le risque de transfert.

Un parent est une personne qui prend en charge, élève, et prend soin d’un enfant. Les parents jouent un rôle essentiel dans le développement et l’éducation des enfants, en leur fournissant un soutien émotionnel, une éducation, des soins physiques et une guidance tout au long de leur vie. Un géniteur ne jouant pas ce rôle en abandonnant, en frappant, etc. ne devrait donc pas être considéré juridiquement ni dans la communication sociétale comme parent mais uniquement comme géniteur. L’accroche à un parent aimant -comme pourrait être le beau-père, le père ignorant ou ayant ignoré une situation de tromperie, la famille adoptive, la famille d’accueil, etc.- en serait plus aisée si la dimension de rôle parental était plus marquante dans ces discussions courantes de l’adopté ou de l’enfant de famille monoparentale.

Le besoin de reconnaissance à un être génétiquement proche mais non désireux de jouer un rôle sera plus grand aujourd’hui par ces mots réguliers. Ce besoin est entretenu par la plupart des cultures qui sont en réalité animalement génophiliques. Ce qui créé encore aussi des difficultés pour les génitrices voire géniteurs de ne plus considérer l’enfant dit abandonné comme étant leur enfant mais bien comme un enfant confié à l’adoption (). Nul n’est notre intention de dire que cela doit être comme ça mais que c’est ainsi que les personnes directement concernées pourront se (re)construire.

Les autres mots qui tuent ? Tu es de quelle origine à une personne qui ne paraît, par sa couleur principalement, par autochtone. Même si l’intention est parfois bienveillante, cela rappelle à cette personne qu’il devrait se considérer qu’à moitié européen et que ses problèmes ne sont pas liés à sa recherche identitaire et de ce fait, que lorsqu’il n’arrive pas à s’intégrer à un groupe dans la norme locale ou suite à différentes frustrations, il doit, pour être heureux, revendiquer son appartenance à un autre clan, celui de la religion, celui de la culture au point d’en devenir parfois extrémiste tiré par des manipulateurs conscients ou inconsicents.

Mange tu vas te rendre malade à une personne anorexique qui par ces mots, se recentre sur ce qu’elle estimait être son point de référence au lieu de comprendre la qualité de sa capacité empathique et d’apprendre à la maîtriser sans la réfréner.

Il y en a de nombreux contextes qui entraînent la perte de confiance progressive qui ne savent être évoqués ici mais pour terminer, les mots qui tuent à petit feu sont les Ouiiiiiii mais… de ce qui était appelé un pervers narcissiquene pas confondre avec le toxique). Le oui ou d’autres termes qui montre à quel point officiellement il aime et le mais qui permet de comprendre que ce n’est jamais assez bien. La somme des deux permet à la victime de croire qu’elle est aimée mais qu’elle doit faire des efforts pour lui plaire car elle n’est personne sans lui. Même si chaque pervers narcissique n’est pas violent, il peut le devenir. La phrase fétiche de ces faux confiants sera à ce stade : Je suis désolé …mais tu as vu dans quel état tu me mets. En gros, il arrive à faire passer le message que rien ne serait arrivé si la victime n’avait pas provoqué la situation. En gros, il sortira une phrase du genre, en pleine conviction parfois : tu m’as énervé alors que tu sais que je deviens violent quand tu m’énerves. Cette phrase doit être NON recevable dans l’esprit de chacun et surtout pour la personne sous emprise !

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Si d’autres termes vous ont marqué durant une vie ou un moment de votre vie, peut-être pourriez-vous nous les confier (…) en guise d’exemples anonymes ou pour compléter nos recherches.

Cela étant, un mot ne tue pas comme fumer ne tue pas directement, c’est bien entendu un rien imagé.

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