Psycho : chacun ses frustrations
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Le terme frustration cher à certains psychanalystes est une émotion qui résulte de la non-satisfaction d’un besoin, d’un désir ou d’un objectif. Cela se produit lorsque quelqu’un est confronté à un obstacle ou à une limitation qui l’empêche d’atteindre ce qu’il veut. La frustration peut être déclenchée par diverses situations, telles que le rejet, l’échec, le retard, la déception ou le sentiment d’impuissance.
Tout le monde est sujet à frustrations. Seulement, en fonction de différents paramètres telles que la répétition, les conditions et la période dans lesquelles elles se déroulent, notre animalité originelle, elles peuvent avoir des effets minimes mais parfois néfastes pour la personne ou leur entourage. Dans certains cas par contre, les frustrations nous amènent également à nous dépasser, à progresser. Nous y reviendrons plus en détails prochainement afin de mieux les comprendre et ainsi faciliter l’équilibre entre les différents types de frustrations.
Plus une personne a subi de frustrations plus il est probable qu’elle devienne extrême dans ses analyses ou ses propos et d’autant plus si cette personne a trouvé un semblant d’équilibre dans le groupe qui l’a reconnu (clan 3). Si cette personne a l’impression d’y avoir trouvé une nouvelle famille, elle défendra corps et bien celle-ci sans plus être capable de remettre en questions les fondements ou les idées développées. Nous les voyons aussi bien en politique où certains parleront de trahison quand une personne quitte le parti pour aller dans un autre (ce n’est pas toujours par arrivisme) ; dans l’écologie où certains confondent KW/h et KW potentiels, dangerosité et CO² ; dans les anti-écolos, dans les religions, dans les anti-religieux, dans le consumérisme absolutiste (différent de libéral), dans le social, dans le racisme primaire (différent du racisme secondaire), dans l’anti-racisme, etc. Développements en cours pour chacun de ces sujets délicats…
Comprendre ces éléments permet de relativiser l’extrémisme de l’un mais également de souligner nos propres biais d’analyse et donc le manque d’objectivité dont chacun peut faire preuve tant il est sous influences. C’est le principe de la Métacognition déconstructrice de biais qui nous est chère (développement prochainement).
Les frustrations peuvent être destructrices dans une vie mais pouvons parfois les utiliser à bon escient. Sans le spleen de l’artiste par exemple, les arts ne seraient sans doute pas toujours aussi intéressants. Ne faudrait-t-il dès lors pas garder une dose de frustrations si d’un coup de baguette magique, nous pouvions les supprimer ? (…)
L’image ci-contre devrait déjà évoquer à certaines personnes quelle sera l’une des premières frustrations que nous relèverons par le biais de cette représentation et quels abus cette frustration peut engendrer dans une entreprise mais également dans un gouvernement (…).
Plus une personne à souffert, plus elle risque d’en devenir manipulatrice pour ne plus souffrir…
Si ce type d’informations vous intéressent, revenez dans quelques mois ou envoyez-nous un courriel pour que nous vous prévenions quand les pages annexées seront achevées.
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