Psycho : psychanalyse, mensonge du premier jour

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Apporté énormément à la conscientisation de la conscience et de notre inconscience mais…

La psychanalyse est une approche de la compréhension de la psyché humaine qui a été développée par le célèbre neurologue autrichien Sigmund Freud au tournant du 20e siècle. Elle a radicalement influencé la psychologie, la psychiatrie et la thérapie psychologique, et ses origines remontent à une époque où la compréhension de la psyché humaine était en pleine évolution.

Sigmund Freud est souvent considéré comme le père fondateur de la psychanalyse. Il a développé des concepts tels que l’inconscient, le complexe d’Œdipe et la théorie des pulsions. La méthode principale de la psychanalyse est la psychanalyse verbale, un processus par lequel le patient parle librement de ses pensées, émotions et souvenirs sous la guidance d’un psychanalyste. Freud croyait que les conflits non résolus et les désirs refoulés étaient à la base des troubles mentaux.

Des chercheurs ont remis en question certaines parties de la narration de Freud dans ses premières études de cas. Anna O était le pseudonyme d’une femme nommée Bertha Pappenheim, et son cas a été publié par Freud et Joseph Breuer en 1895 dans l’ouvrage intitulé Les Études sur l’hystérie. Certains chercheurs ont examiné les documents originaux, notamment les lettres échangées entre Freud et Breuer, et ont pu prouver que l’intéressée a fini ses jours en institution. Connaissant ce mensonge du premier jour (article complet) et la mise en évidence médiatique de théories peu rigoureuse (basée sur sa seule clientèle de femmes riches et essentiellement esseulées dont l’un des exemples les plus intéressants est la dernière des Bonaparte qui lui tint tête malgré son amour pour lui), le terme psychanalyse ne devrait plus être une référence qu’historique. Nous ne pourrons pas négliger son importance pour autant car que serions-nous aujourd’hui tout de même sans ce beau mensonge …et si la science humaine n’avait repris avec les limites que nous relevons aussi, les approximations scientifiques de l’intéressé.

De mensonge en mensonge, des dérives surviennent toujours. On en cache par exemple la nature des propos de madame Dolto ; peut-être bien par le principe de ne pas ébranler le principe de Ponzi appliqué à la thérapie (pas seulement présent en Psychanalyse) par Freud. Rappelons que ce dernier est mort plus de 20 ans après l’effondrement de cette première pyramide à Boston. Il était impossible de ne pas être informé d’un tel système à cette époque. Appliqué à une thérapie, cela donne ceci : être formé pendant de très longues années et payer une somme conséquente à un formateur/soignant qui vous permettra ensuite de réaliser le même service avec le même procédé tout en continuant vous et lui à se faire suivre… Comme un thérapeute n’en a généralement pas conscience, il ne peut être accusé totalement du fait de son emprise notamment et d’une très grande difficulté de remise en question générée par la théorie de l’engagement (…).

Il est important de noter que la psychanalyse a évolué au fil du temps, et les théories et concepts de Freud ont été révisés et adaptés par de nombreux autres psychanalystes au fil des décennies (voir tableau en bas de page) mais au vu de ce qui précède, en passant par l’incohérence des propos de Lacan (…), des dégâts encore présents aujourd’hui mais surtout il y a deux décennies sur les familles en présence d’autisme, ce courant ne devrait plus avoir le poids actuel ni s’appeler ainsi. Seulement, comme la pratique est onéreuse, le public qui se permet un tel suivi est généralement aisé. Comme la véritable mixité sociale n’existe que dans les utopies sociales ou intellectuelles, ceux qui ont bénéficié d’un tel suivi, pourraient être tentés inconsciemment de penser appartennir à une élite intellectuelle – sentiment renforcé par l’usage lacanien de termes complexes (permettant de manipuler plus facilement, de manière consciente ou inconsciente, une personne en attente/ en souffrance) – et qui plus est, financière. Il ne faut donc pas s’étonner vu l’instinct grégaire primaire de chacun, de soutenir celui de la même caste et de maintenir la présence dans les milieux argentés et universitaires de certains psychanalystes.

D’autres exemples de dérives de cette formation, notamment celle de Schützenberger et sa Psychogénéalogie existent. Certaines seront détaillées ultérieurement dont celles d’abus sexuels liés à l’hypnose dont ceux de Gérard Miller, etc.

Tout bon thérapeute de ce courant devrait avoir le courage de se détacher de ce passé aux nombreuses zones d’ombre et dont la durée moyenne de traitement pose également questions. En complément de l’article en lien plus haut, d’autres références sont à lire ou à écouter. Suivez le podcast de Meta de Choc, traitant du sujet pendant plusieurs heures (Spotify). Vous aurez ainsi bien d’autres éléments vous permettant de vous faire une opinion en place de la nôtre.

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