Psycho : êtres ou animaux grégaires

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La plupart n’aiment pas, voire ne supportent pas, d’entendre ou tout simplement d’imaginer, que la plupart de nos comportements, même s’ils sont intellectualisés et soumis à de nombreuses influences, sont issus de notre identité animale et des proportions initiales de dominance.

Nos comportements initiaux puis généraux sont influencés principalement par notre besoin grégaire (besoin de vivre en groupe voire d’appartenir à un clan). Le besoin grégaire, sans doute pour ne pas reconnaître son appartenance animale, a été appelé par certains intellectuels, le besoin de reconnaissance (peur de l’exclusion sociale)

Notre besoin de reconnaissance au clan survient très tôt. Nous tenterons d’être reconnu dès les premières semaines de vie et donc d’être aimé de nos parents et de notre petite famille. Nous considérerons ici, ce premier cercle familial comme le rang 1. Selon le mode de fonctionnement de celui-ci, nous chercherons à appartenir au clan suivant de manière plus ou moins prononcée. Ce clan est celui de la famille élargie et/ou des amis des parents (rang 2).

Si nous ne sommes pas castrés par l’incompétence psycho-affective ou la perversion narcissique parentale (nous y reviendrons ultérieurement), nous tenterons de plaire et d’être reconnu dans une proportion normale au rang suivant, celui de l’école puis plus tard du bureau. Ce que nous appellerons donc, le rang 3.

De ce besoin grégaire et de l’analyse de centaines de situations, nous pouvons déjà tirer certaines conclusions. Nous ne les relevons pas encore tous ici pour les besoins de neutralité de ce que nous préparons comme recherches.

C’est en partie de ce besoin grégaire, que beaucoup de personnes maintiendront des relations toxiques avec leur famille (…), s’attacheront à la personne absente après rupture, tant qu’enfant de famille monoparentale que dans le cadre de l’adoption, pour être reconnu au détriment parfois de l’amour reçu des parents dits adoptifs (…).

Nous espérons vous transmettre le fruit de celles-ci et nos conclusions au plus tôt vu l’urgence en santé mentale dans différents secteurs ou chez certains profils. Ce que nous pouvons en dire, c’est que c’est de ce besoin d’appartenance que nous tirons notre volonté de nous rassembler en cherchant nos paires et à suivre des voies qui peuvent paraître étranges, inhabituelles voire dangereuses pour d’autres. Ces dérives sont notamment très bien analysées dans les podcasts de Méta de Choc de l’indépendante Elisabeth Feytit.

à suivre donc prochainement

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