Psycho : manipulateur et pervers narcissique
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L’amour vendu aux plus sensibles par des putains de vicieux (Zaho de Sagazan)
Alors que certains vous rédigeront des livres entiers sur le sujet, nous nous contenterons d’une page de laquelle, vous ne pourrez vous contentez, si vous ou votre entourage pensez être sous emprise. Les informations qui suivent ne sont en rien destinées à vous laisser pardonner celui établi comme profil pervers narcissique (terme psychanalytique dénommé aujourd’hui comportement narcissique pathologique ou personnalité narcissique perverse/malfaisant). Tout manipulateur n’est pas pervers. Nous sommes presque tous un peu manipulateur si l’on veut séduire un être aimé, un employeur potentiel, un agent de sécurité qui nous refuse un accès ou est témoin d’une infraction, etc. C’est la proportion et les objectifs qui diffèrent. Si un commercial doit faire du chiffre pour maintenir son emploi, il n’est pas forcément manipulateur malsain mais si c’est pour être le meilleur et écraser le client ou ses collègues délibérément, la plupart du temps, on est en droit de se poser la question. Et si nous sommes tous un peu manipulateur, nous ne sommes pas tous dans une relation toxique non plus mais la frontière n’est pas loin (…).
L’individu de personnalité narcissique présente des caractéristiques de la personnalité narcissique (égocentrée) et des comportements manipulateurs ou abusifs. Cette combinaison de traits pathologiques crée une dynamique toxique dans les relations interpersonnelles notamment par le placement volontaire conscient ou inconscient de mots qui blessent.
Origines : L’origine du concept de pervers narcissique remonte aux travaux de psychanalystes tels que Otto Fenichel et Hervey Cleckley au XXe siècle. Le terme a été popularisé par des psychologues français dans les années 1980. Il est souvent associé aux travaux de psychanalystes français comme Paul-Claude Racamier. Le pervers narcissique se caractérise par un ego surdimensionné, une absence d’empathie *, une manipulation émotionnelle, et une tendance à abuser de la confiance d’autrui pour son propre bénéfice. Même si la psychanalyse a apporté énormément, nous ne cautionnons pas les thérapies qui se dénomment encore ainsi.
* : Même si c’est la pensée courante et rassurante de se dire qu’un PN n’a pas d’empathie. Si on respecte la définition, nous ne sommes pas d’accord avec l’usage du terme absence. Les victimes de ces personnes en disposent généralement assez bien. Ils décèlent l’empathie et donc il faut en disposer pour la déceler et c’est pour cette raison que c’est encore moins pardonnable même si ça devient inconscient par la suite (…).
Traits caractéristiques :
- L’égocentrisme extrême : Le pervers narcissique se préoccupe principalement de lui-même et ne montre que peu ou pas d’empathie envers les autres.
- La manipulation : Ils utilisent des tactiques de manipulation émotionnelle pour contrôler et dominer les autres (mots qui blessent).
- La séduction initiale : Ils peuvent être charmants et attirants au début d’une relation pour gagner la confiance de leur partenaire.
- La dévalorisation : Ils dévalorisent régulièrement leurs partenaires, les rabaissant pour maintenir leur propre sentiment de supériorité. Cette dévalorisation se fait généralement en interne car à l’extérieur il veut se donner une belle image. Si la dévalorisation se fait également en public, la plupart du temps, c’est un petit ou gros con mais parfois un pervers narcissique en devenir pour lequel l’entourage a sa part de responsabilités s’ils laissent faire.
- La gaslighting : Ils nient la réalité, minimisent leurs actes et font douter leurs victimes de leur propre perception.
Conséquences :
Les relations avec un pervers narcissique peuvent avoir des conséquences graves sur la santé mentale et émotionnelle des victimes. Ces conséquences peuvent inclure :
- Une faible estime de soi et un sentiment de culpabilité.
- L’isolement social, car le pervers narcissique peut isoler sa victime de ses amis et de sa famille.
- Des troubles anxieux et dépressifs.
- Des traumatismes émotionnels, qui peuvent nécessiter une thérapie pour guérir.
- Des relations toxiques et abusives, qui peuvent être difficiles à quitter en raison de la manipulation notamment par la théorie de l’engagement ou de la victimisation du manipulateur.
Il est important de rappeler que le terme pervers narcissique n’est pas un diagnostic clinique officiel, mais plutôt un concept populaire utilisé pour décrire un ensemble de comportements pathologiques. Si vous croyez être en relation avec un individu présentant de tels comportements, il est recommandé de chercher de l’aide auprès d’un professionnel de la santé mentale pour comprendre et gérer la situation.
Origine
L’origine du comportement narcissique permet de comprendre leur mode de fonctionnement mais en aucun cas, la victime emprise, ne doit analyser cette situation pour pardonner. Pardonner fait partie de ce qui permet l’apaisement d’une Société mais dans le cas particulier de l’emprise, cette réflexion entraîne la plupart du temps un retour à l’emprise. Comprendre le mécanisme permet de se défaire plus aisément des griffes notamment en comprenant à quel point la plupart des narcissiques pervers ou non, sont des personnes en manque de confiance originellement. En fonction de leur degré d’atteinte, ils peuvent avoir mis tellement de mécanismes en place, qu’il arrive à se convaincre eux-mêmes que ce n’est le cas …et surtout si ce que nous avons appelé un piedestalien ou un successeur.
- Le piedestalien est un enfant roi en surconfiance que des parents parfois bien intentionné voulant suivre les préceptes extrêmes de certains pédagogues comme l’ambigüe Dolto, ou voulant compenser leurs propres frustrations font croire à l’enfant que tout ce qu’il fait est bien et surtout qu’il a droit à tout dire et tout faire. Ces enfants-là quand il se retrouve dans le rang 3, se retrouvent seuls voire subissent les remontrances des enfants qui ne se laissent faire voire deviennent harceleurs …à cause du comportement royaliste initial. L’une des réactions de ce petit roi est de créer des mécanismes pour ne plus subir et devenir acteur de sa vie et non pas spectateur. Ayant compris les stratagèmes pour manipuler ses parents, il adopte des procédés similaires pour endormir son entourage. De fil en aiguille, il aiguise sa méthode et devient rapidement un jeune manipulateur…
- Le successeur est l’un des enfants d’un géniteur narcissique malfaisant (ne jamais dire parent dans ce cas) qui animalement dominant, plutôt que de tomber dans la domination absolue qu’attend le géniteur, il utilisera les mêmes stratagèmes pour retourner la situation un jour. S’ils sont brillants, il y arrive dès l’enfance et ce sont les autres qui en subissent encore plus les conséquence. Ce sont généralement les cas les plus malsains à l’âge adulte. Plus ils sortent tard de l’emprise familial, moins ils seront efficients et généralement plus méchants que sinueux. Ce qui n’est pas une généralité absolue.
- Le frustré pur est la personne qui déclenche progressivement par échec successif un moyen de cacher son incompétence. Le beau-parleur comme on l’appelle parfois dans le langage courant peut s’avérer un manipulateur. C’est généralement les complexés les plus faciles à retourner et qui généralement s’écrase fasse à une compétence dominante après un ou deux essais infructueux.
- Le suiveur, celui qui aime notamment l’émission du présentateur le plus narcissique pathologique qui a appelé son émission de manière symptomatique, Touche pas à mon poste (…). Généralement, l’eau chaude sera comprise mais pas inventée par ce type de personnalité mais agit dans un groupe dominé par un manipulateur donnant le ton de la manipulation grégaire (…).
Tout ce qui précède n’est qu’un résumé et nécessiterait plus de finesse surtout dans notre dernière description. Chaque type de PN se gère un peu différemment mais ce qui est certain, c’est que si nous sommes sous emprise, le mieux durant un temps plus ou moins long, est la fuite totale pour trouver la confiance dans un environnement plus propice. Nous ne disons expressément pas retrouver car ces personnes ne s’attaquent généralement pas à des personnes ayant véritablement confiance en soi. Ces dernières bien souvent expriment que c’était trop beau dès le départ mais qu’elles ont écouté le sentiment de l’entourage dupé par l’individu narcissique… Si le narcissique trouve ses proies, c’est qu’il dispose d’une capacité empathique mais son comportement induit qu’il n’a pas de sentiment empathique.
Certains manipulateurs, pour avoir le pouvoir sur plus de monde facilement, se retrouvent dans le milieu du bien-être où aboutissent beaucoup de personnes en questionnements et manque de confiance en soi, notamment dans le Yoga mais plus particulièrement dans ce qui est considéré comme ésotérique, l’extrême étant le gourou de la secte.
Développement ultérieur ou lors de formations ou conférences
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L’amour vendu aux plus sensibles par des putains de vicieux (Zaho de Sagazan) Une chanson qui en dit long…