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Dans le vaste réseau de l’existence, le cerveau humain, cette merveille technologique naturelle ne serait-il pas qu’un ordinateur portable biologique complexe. Chaque individu porte en lui une unité centrale de traitement unique, dotée de sa propre capacité de stockage, de mémoire vive et d’un réseau sophistiqué de câblage neuronal.

Considérons le disque dur comme le répertoire profond de souvenirs et d’expériences ; ceux-ci étant stockés méticuleusement pour être rappelés en temps voulu. La méthode de classements des informations permettra ou non de retrouver plus ou moins facilement les différentes informations conservées.

La mémoire vive, quant à elle, représente la puissance du moment présent, permettant une réflexion plus ou moins rapide et plus ou moins intense.

Les différents individus disposent, dès la commande de l’ordinateur portable à la centrale d’achat, d’une configuration matérielle plus ou moins puissante dont il sera difficile de changer le contenu même s’il reste un peu de place pour de nouvelles cartes. L’ordinateur dispose généralement d’une carte réseau plus ou moins puissance appelée empathie. Si cette dernière se trouve en présence d’un mauvais routeur, elle ne permettra de communiquer aussi sainement et rapidement que l’ordinateur en serait capable en présence d’une bonne écoute d’un bon routeur. En plus, il arrive que le code soit mal paramétré dans l’ordinateur et que la communication en devienne impossible (…).

Chaque personne est dotée d’une variété de logiciels préinstallés – des compétences innées et des prédispositions génétiques qui façonnent ses talents et ses défis uniques. Les capacités de traitement seront différentes en fonction du type de hardware original et de sa qualité de fabrication. La qualité ne dépend pas forcément du prix mais de ceux qui l’ont fabriqué, de leurs conditions de travail et de leurs influences du moment. La qualité et l’intensité du travail entraîneront une usure plus ou moins précoce et d’autant plus si l’ordinateur n’est pas placé dans de bonnes conditions atmosphériques, ne bénéficie de moments de repos permettant de redémarrages fréquents, etc. et bien entendu s’il est soumis à quelques chutes (sens propre et figuré).

Chaque software éducatif peut être plus ou moins bien programmé ou être trop complexe pour l’usage à réaliser. Ceux-ci entraînent aussi bien des tâches multiples inefficaces ou prennent de la place sur la mémoire vive sans aucune utilité alors que d’autres arrivent à réaliser des calculs successifs dans un ordre et une technologie ne mettant rien en mémoire cachée. Si le programme éducatif est efficace, la saturation ne surviendra pas aussi vite que pour les premiers évoqués dans ce paragraphe. Inutile de charger un Adobe photoshop nécessitant une formation complexe alors qu’avec un Canva bien moins énergivore, on peut être épanoui …sauf si on souhaite bien montrer à notre rang 3 que nous leur appartenons bien en maîtrisant le dialecte du clan complexe ou complexé (…).

Certains software ne pourront même pas s’installer sur certaines machines alors que d’autres ralentiraient celles-ci de manière conséquente, rendant ainsi difficile de faire fonctionner des tâches courantes simples ou tout au moins réaliser des tâches complexes avec des bugs sur certains programmes. Comme certains software sont fournis par le constructeur, ils sont parfois très difficiles à retirer de la machine et beaucoup ne s’y risquent puis il est considéré par le constructeur pervers mal intentionné que cela ne se ferait sans risque.

Attention d’ailleurs à ne confier le cerveau qu’à des personnes qui connaissent vraiment non pas une seule machine mais bien l’ensemble et qui ne se référeront pas seulement à ceux qu’ils ont chipotés comme Freud le fit et surtout s’ils étudient des ordinateurs qui fonctionnent bien et pas seulement les ordinateurs qui fonctionnent difficilement.

En fonction de la qualité du matériel et des softwares dont des pare-feux, le cerveau présentera plus ou moins de limites. Surchargez ce pc portable avec des demandes excessives, et il risque de chauffer voire surchauffer, montrant ainsi des signes de fatigue. Certains peuvent ralentir, éprouvant des difficultés à exécuter des tâches simples répétées, tandis que d’autres, confrontés à une pression extrême, pourraient entrer en surchauffe voire brûler de manière irréversible.

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En fin de compte, prendre soin de ce réseau biologique complexe devient une priorité :

• Le charger et l’éteindre à temps
• Le nettoyer régulièrement
• Choisir les programmes nécessaires sans encombrer la machine de programmes conseillés par le rang 4 ou 3
• En changer de temps en temps en en prenant des plus récents et moins énergivores
• L’entretenir régulièrement
• L’oxygéner en continu
• …

Si vous ne comprenez pas toutes les allusions, ou si vous souhaitez en savoir plus, vous pouvez toujours nous contacter pour booster votre mémoire vive en direct ou lors de formations/conférences.

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