Plomberie : respiration et blocage
Attention à lire les consignes avant de lire toute page d’un site santé !
Nous sommes tous des bloquants !
Toute personne démarrant une action commence par bloquer sa respiration. Notre mémoire vive étant limitée, ce blocage permet sans doute au cerveau de mieux gérer le nouvel objectif corporel et de maintenir le corps en protection lors dudit mouvement.
La plupart des personnes continuent à bloquer leur respiration encore durant quelques secondes mais d’autres bien plus. Chacun bloquera également en réfléchissant à une question pas forcément complexe, en se lavant, en se levant d’une chaise, etc. C’est une habitude qui ne porterait pas à conséquence véritable si nous en étions restés à un rythme animal mais étant donné le rythme humain et le nombre de contraintes intellectuelles et/ou physiques que ce rythme entraîne, bloquer sa respiration sans correction peut amener à des conséquences minimes comme à bien plus dramatiques.
En effet, plus une personne est fatiguée, plus une personne se concentre, plus une personne est stressée, plus elle bloquera sa respiration. De ce fait, une personne qui est mise sous stress dans un bureau en full scanned et qui ne bouge donc presque pas, ne respectant donc pas l’alternance contraction-relâchement donnée par la respiration d’une part et par le mouvement d’autre part, sera bien évidemment plus à même d’être fatigable physiquement et psychiquement. Nous soutenons de ce fait, que la recrudescence des burnouts dans les bureaux est directement liée au full scanned. Ce qui ne revient pas à dire qu’il s’agit du seul facteur mais bien d’un point essentiel pour expliquer l’augmentation de cette dernière décennie et non pas que ce seul point est responsable du burnout dans son ensemble.
Apprendre à ne pas maintenir son blocage est, selon nous, la priorité dans toute situation respiratoire cardiaque ou sportive, nous avons quelques exemples dont un plus particulièrement qui le confirme largement. Cette évidence sera ensuite combinée à ce que Monsieur Liégeois a appelé la décoordination respiratoire : la respiration doit maintenir son rythme lent et plus ou moins profond selon les efforts en cours et ne doit donc pas se calquer sur le rythme des mouvements en cours (…) ni devoir devenir un suceur de tabac (…)
(…)
Analysez votre propre blocage et ne soyez plus dans le Bloc-cage (thoracique)…
Attention, ce qui précède n’est pas une critique de l’apnée subaquatique qui elle, facilite notamment le développement des capacités respiratoires (…).
Un chanson d’air :