Système cardiaque

Attention à lire les consignes avant de lire toute page d’un site santé !

Chaque problème cardiaque demande une analyse spécifique de la part du thérapeute qui le traite. Il ne serait donc pas prudent ici de donner trop d’informations qui risqueraient d’être mal interprétées et qui dès lors pourraient engendrer des problèmes plus sérieux. Ce chapitre sera, de ce fait, développé dans une moindre proportion que les autres chapitres viscéraux.

NORMALITÉ : Le cœur est la pompe circulatoire principale.

Le cœur est une pompe musculaire qui a comme vocation lors de sa contraction, de pousser le sang vers les différentes extrémités du corps à l’aide du système circulatoire. En amenant du sang aux extrémités, le sang qui s’y trouvait et dont les composantes ont été consommées par les différents tissus est ramené vers les poumons qui vont jouer leur rôle d’oxygénateur. Ensuite, le sang oxygéné repartira vers le cœur entre autre grâce au mouvement d’aspiration créé par le relâchement d’une partie du muscle cardiaque. Le cœur respecte plus que n’importe quelle partie du corps le principe de contraction-relâchement. Comme n’importe quel muscle, pour qu’il travaille correctement, il doit recevoir lui-même un sang suffisamment oxygéné. Il faudra pour lui également, éviter les blocages respiratoires. Si le cœur ne reçoit pas suffisamment d’air du système respiratoire au moment où il en demande, son réflexe sera d’accélérer le rythme, de pomper plus fort pour obtenir ce qu’il recherche …et donc de travailler inutilement au risque de se saturer s’il ne reçoit pas d’oxygène (…).

La puissance du cœur permet de distribuer le sang dans l’ensemble du corps. Seulement, l’apport sanguin est favorisé par un mouvement de l’ensemble des muscles par le même principe de contraction-relâchement. La pompe secondaire au cœur sont les mollets qui travaillent à chaque pas correctement effectué (pointes-talons). L’ensemble des autres muscles des jambes, des bras et du tronc seront en quelque sorte considérés proportionnellement comme la pompe tertiaire.

Au cours du temps, de certaines fragilités des tissus veineux et/ou artériels ainsi que de certains facteurs de vie, le travail de ces muscles devient indispensable pour éviter de fatiguer le cœur (voir plus bas).

PATHOLOGIES : Nombreuses et proches

Les troubles circulatoires sont parfois d’origine cardiaque mais le plus souvent surviennent par de mauvaises habitudes sur un terrain parfois plus fragile.

Pour les raisons évoquées précédemment, nous ne développerons pas de traitement pour les pathologies ci-dessous. Nous vous donnerons quelques conseils en principe judicieux et pourtant simples valables pour tous cœurs pathologiques ou non.

Pathologies les plus courantes :

  • Angine de poitrine : douleur thoracique pouvant irradier vers le cou, la mâchoire inférieure ou les bras, due à la mauvaise irrigation du cœur
  • Arythmie cardiaque : trouble du rythme du cœur, caractérisé par une irrégularité des contractions .
  • Athérosclérose : maladie dégénérative de l’artère ayant pour origine la formation d’une plaque d’athérome (dépôt lipidique) sur sa paroi. Celle-ci peut aboutir à un accident cardiaque ou des crises d’Angor
  • Bradycardie : ralentissement des battements du cœur en dessous de 60 pulsations/minute
  • Infarctus du myocarde : nécrose d’une partie plus ou moins importante du myocarde (muscle cardiaque), consécutive à une obstruction brutale d’une artère coronaire
  • Tachycardie : accélération de la fréquence des battements du cœur au-delà de 90 pulsations par minute

Etant donné la synergie du cœur et des poumons, étant donné les pompes secondaires et tertiaires, alors qu’il fut un temps où après une opération du corps ou un infarctus du myocarde, nous mettions les personnes au repos, certains comprirent qu’il fallait au contraire se mouvoir. Sans doute assez logique quand on comprend le maniement du corps …comme nous vous l’expliquons dans l’ensemble du site. Selon les stades, il a été constaté à plusieurs reprises que si une personne restait debout sans bouger alors qu’elle avait été pontée ou après infarctus sans opération, ses pulsations cardiaques remontaient si elle restait debout sans bouger au delà de 2 minutes. Une fois que la personne marchait sur tapis roulant à SA vitesse (ni trop vite ni trop lentement) et qu’elle avait appris à respirer correctement sans blocage ni mouvements coordonnés, les pulsations dans un premier temps diminuaient. En fonction de l’état général, elles pouvaient remonter si on tentait de suivre une vitesse constante ou une vitesse trop lente et donc moins naturelle (notamment dans le déroulement du pied).

Vivre tous les jours avec un cœur fatigué ou fatigable, c’est comprendre que l’environnement peut porter à conséquence s’il n’est pas connu, compris et surtout que nous ne cherchons pas à nous adapter à cette incompétence cardiaque quelle soit définitive ou momentanée… Il faut donc dans tous les cas, pour éviter de fatiguer son cœur, respirer et se mouvoir correctement tout en réalisant chaque situation courante et mouvements en respectant le principe d’économie d’énergie. Il faut bien entendu dormir et boire également en suffisance

Lorsque les températures sont différentes, il est d’autant plus nécessaire de respecter les paliers.

(…)

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