Pathologie : maux de tête vs migraine
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Les maux rencontrés le plus couramment au niveau de la tête sont les migraines et les maux de tête.
Ceux-ci surviennent de manière insidieuse et sont la traduction régulièrement d’un stress, de changements hormonaux ou de troubles digestifs. La migraine est généralement caractérisée par une douleur intense et pulsatile d’un côté de la tête. Elle peut être accompagnée de nausées, de vomissements, de sensibilité à la lumière (photophobie) et au son (phonophobie).
Il est à savoir que dans environ 90% si pas plus de la clientèle référencée, les personnes souffrant régulièrement de migraines ne boivent pas en suffisance ou perdent régulièrement de l’eau par transpiration voire plus rarement, par diarrhées et disposent pour la plupart d’une sensibilité plus grande que la moyenne avant même qu’une migraine ne se déclenche. La photo ou phonobie ne serait donc qu’une saturation des sens et non un symptôme de la migraine tout comme la migraine pourrait être considéré comme telle dans de nombreux cas. Il est à noter que, dans notre échantillon de référence, plus de 90% des patients directement concernés, s’avéraient dans cette situation alors l’un des plus grand chercheur reconnu, ne l’avait toujours pas envisagé aux environs de 2010. L’une de notre échantillon, psychologue et donc en principe formée aux caractéristiques humaines, suivie depuis des années pour des migraines par ce que certains appelleraient cet expert, après analyse de sa situation, nous a confirmé qu’aucun des patients de son analyse ne semblait normo-typique (…). Nous n’affirmons donc pas que chaque migraine est le fruit d’une saturation mentale mais qu’elle est majoritaire mais nous ne sommes pas opposés à l’existence de facteur aggravant à déterminer. La recherche n’est pas prouver mais trouver.
D’autres personnes habituées aux maux de tête, semblent sensibles à l’un ou l’autre élément ingurgités. L’élément le plus couramment rencontrés est le vin blanc. Même sans être excessif, parfois même pour un seul verre, certains souffrent d’une réaction à ce type de boisson plus qu’aux autres. Analyser ce qu’on a ingurgité quelques heures avant d’avoir mal à la tête et comparer ces informations aux aliments ou boissons pris avant le dernier mal, indique éventuellement si notre mal de tête est une réaction viscérale. Dans ce cas-ci, pour le vin blanc ou des vins jeunes, ce serait la réaction aux sulfites qui expliquerait ces maux. En plus de boire en journée, boire un verre d’eau en plus pour un verre de vin évite la plupart des réactions. Les plus intolérants veilleront à doubler cette quantité pour limiter voire éviter ces maux et préféreront des vins plus vieux pour lesquels le temps aura permis l’évaporation de ces substances.
D’autres maux de tête semblent survenir suite au stress. Le stress en plus de l’activité cérébrale qu’elle pourrait entraîner, augmente souvent surtout une tension dans la nuque par redressement des épaules ou flexion antérieure de la tête voire une antériorisation de celle-ci (mouvement de poule). Le redressement de la flexion antérieure est effectué par des muscles s’insérant à la base de la nuque notamment.
En travaillant, ces muscles tendent à rapprocher les vertèbres cervicales et donc compriment les nerfs passant par là. De plus certains nerfs suivent le trajet de ces mêmes muscles ou des muscles du crâne qui sont donc comprimés légèrement aussi sur une partie de leur trajet. Si la posture de la nuque n’est pas idéale comme c’est souvent le cas des personnes souffrant de migraines, les vertèbres peuvent être déjà comprimées régulièrement et les nerfs irrités fréquemment. La mauvaise posture est souvent le mouvement de poule et donc en réalité un élément qui accompagne les attitudes liées au stress et pouvant donner des céphalées par compression si pas permanente, régulière d’un ou plusieurs nerfs.
Le traitement ou mieux la prévention dans ce secteur serait de :
- boire en suffisance
- éviter les aliments ou boissons entraînant une réaction
- étirer le visage régulièrement (déplacement tissulaire)
- pointillisme des points crâniaux
- se détendre d’une manière ou d’une autre ou en tout cas prendre conscience des tensions de nos épaules pour les relâcher régulièrement
- corriger la posture de la nuque notamment en position assise au travail tout comme dans la plupart des situations courantes dont la station debout
- éventuellement comprimer la tête
Si une personne jeune après un choc, ou une personne de la cinquantaine et plus, ne souffrant pas régulièrement de maux de tête, sent un forte compression dans la tête après ou en même temps qu’elle se sent mal, est déséquilibrée et/ou souffre de nausées, il est possible voire probable qu’il s’agisse d’une commotion ou d’une hémorragie cérébrale et d’autant plus si elle présente des difficultés à s’exprimer. Dans ce cas, pas la peine d’appeler le médecin de famille qui vous enverra sans doute lui aussi aux urgences pour être s’assurer de la situation. Si la personne est en état d’être transportée, filez aux urgences sans attendre.
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