Situation : manger

Attention à lire les consignes avant de lire toute page d’un site santé !

Dans cette page, nous ne parlerons pas de la position à adopter pour manger qui est proche de celle de la position assise mixée avec celle de boire. Nous parlerons principalement des habitudes liées à l’alimentation et des conséquences que celles-ci entraîne notamment sur le poids.

Nous ne sommes surtout déjà pas égaux devant le viscéral et la santé. Nous devons nous connaître viscéralement avant tout mais tenir compte des réalités suivantes qui vont à l’encontre de bien des préceptes défendus encore par des « professionnels » ou des amateurs considérant la contrainte contraire au bien-être.

Tout le monde ou presque a déjà entendu parler de la théorie Pavlov et pourtant appliqué à l’être humain, la plupart défendent l’idée de manger à la même heure. Quoi de plus stupide et de plus pavlovien que de rappeler à un corps qu’il est « l’heure de manger ». La plupart de ceux qui ne respectent pas un rythme défini pour manger sont rarement en surpoids car ils réveillent leur véritable ressenti et ne mangent que lorsqu’ils ont véritablement faim et bien souvent sans avoir besoin de rassasiement. Nous avons d’ailleurs quelques beaux exemples de cette aberration.

Ce piège sociéto-viscéral fait suite à l’abus de pouvoir de certains employeurs qui empêchaient leurs ouvriers et employés de prendre des temps de pause, même à midi. Imposer une temps de repos pour manger a permis au personnel de pouvoir récupérer physiquement et sans doute moralement. Ce temps devenait un temps d’échange entre les travailleur qui dans certains cas, n’avaient même pas l’occasion de discuter en journée sans risque de remontrances voire de violences. Cette étape permit d’en voir d’autres par la suite favorables pour améliorer les conditions des travailleurs. Nous recherchons d’ailleurs le texte transmis par un vinaigrier à ces ouvriers qui expliquaient notamment qu’ils disposaient à présent de le possibilité de manger à midi mais qu’en aucun cas, ils ne pouvaient s’arrêter, qu’ils devaient apporter une demi-livre de bois les jours d’hiver, qu’ils devaient laisser la cour en état après leurs besoins naturels, etc. Si vous savez où le trouver, contactez-nous.

Si comme la majorité, vous vous êtes faits avoir par cette mauvaise habitude ou enseignement, il faudra du temps pour vous en défaire. Commencez par manger plus tard au moins chaque week-end (…).

Les autres pièges dans lesquels il ne faut pas tomber et qui font grincer les dents hors contexte médical surtout quand, comme ici, nous ne développons par encore les raisons qui amènent à ces conclusions. Ces dernières sont un peu difficile à encaisser quand on a ses habitudes bien ancrées (mais un développement suivra) :

  • Favoriser les aliments pas trop cuits pour qu’ils restent fermes et qu’ils nécessitent ainsi une plus forte mastication et donc une plus grande salivation. La salive comporte une enzyme favorisant la digestion (…)
  • Evitez les aliments préparés qui d’une part sont trop salés et d’autre part, qui saucés, empêchent de savourer les éléments individuellement (…)
  • Ne jamais forcer un jeune enfant à manger une deuxième assiette s’il n’a pas faim et certainement ne pas lui accorder de dessert s’il se manifeste ensuite. Ne jamais forcer à manger de la viande. Il mangera la quantité dont il a besoin (…). Ces mauvaises habitudes conditionnent la satiété alimentaire de l’adulte.
  • Ne jamais boire de boissons sucrées à table ni pour étancher sa soif (…)
  • Ne pas confondre allergie et intolérance (…)
  • Toujours disposer d’une ceinture en cuir et non élastique afin de pouvoir contrôler le trou utilisé et maintenir une certaine pression sur le ventre. Si cela entrave votre respiration, c’est que sans doute vous utilisez trop souvent la respiration abdominale.
  • Ne jamais acheter la taille de vêtements au dessus de la précédente ni utiliser trop souvent des vêtements élastiques. Il est plus facile d’accuser les hormones qu’une réalité fréquente : les femmes prennent plus rapidement de poids qu’un homme notamment parce que se trouvant bien plus souvent que les hommes avec des vêtements plus élastiques, beaucoup de femmes ne sentent avoir pris du poids qu’après 4 à 8 kilos à cause de l’élasticité des tissus utilisés. Les hommes, s’ils se trouvent avec une ceinture en cuir et des vêtements moins élastiques, devraient sentir une différence dès une prise de 2 à 3 kilos. Si en plus, on accepte l’idée qu’il faut alors changer de vêtements plutôt que de tenter rester dans les précédents, on permet que le poids gagne sur notre volonté. Chacun fait ce qu’il veut mais il ne faut pas s’étonner de prendre du poids si on adhère à la facilité.
    • Certains défenseurs de la « facilité hormonale » défendront leur idée en disant « d’ailleurs, la preuve est que nous avons plus de graisse dans les fesses et derrière les bras« . Cette défense est la plupart du temps totalement fausse. Une femme qui réalise une marche avec des grands pas quotidiennement comme le ferait un homme sans talon et sans jupe restrictive des mouvements, n’a que rarement plus de graisse qu’un homme dans ses fesses.
    • Quant aux bras, c’est parce que l’homme s’appuie généralement bien plus qu’une femme sur un support (comme fait le gorille pour impressionner son adversaire ou sa femelle). L’homme, même si on peut le dire avec un peu d’humour, reste véritablement un animal plus simiesque que la gente féminine. Vidéo suivra prochainement
  • Eviter l’usage de grandes assiettes au quotidien. Une grande assiette comparativement à une plus petite donne l’illusion qu’elle doit être plus remplie pour une même quantité de nourriture : En regardant la petite assiette, ton cerveau, va comprendre qu’elle est bien remplie (Meryl Bissonnier)
Quantité identique mais assiettes de taille différente

(…)

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