Normalité : naître égaux, un mensonge

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Le concept d’égalité n’est pas critiquable en matière de droit à être défendu, à être soigné, à accéder à l’école. Par contre, étant donné l’eugénisme passé, les bien-pensants ont crû bien faire en parlant d’une égalité générale pourtant cette vision édulcorée génère selon nous, la plupart des troubles en santé mentale notamment par la non reconnaissance d’une empathie majorée.

L’assimilation de ce principe en matière corporelle, sensorielle et même intellectuelle s’avère apporter son lot de pathologies que nous détaillerons progressivement dans le chapitre Corps psychique ou dans des exemples tel que le Pas comme ça !. Même si ce mensonge s’est avéré nécessaire au vu des dérives d’une Société barbare et inégalitaire, il a manqué de finesse et a entraîné son lot de convictions dont il sera difficile de se défaire.

Des familles entières souffrent plus facilement que d’autres de certaines pathologies malgré une hygiène corporelle et/ou alimentaire correcte. Certaines sont touchées par des cancers plus facilement dans une même famille ou à l’inverse pas du tout de la même manière même chez des jumeaux homozygotes. D’autres sont plus facilement touchées par des troubles circulatoires, par des foulures, par des difficultés respiratoires, etc. Dans certaines familles, avec le même régime alimentaire et une éducation saine similaire, les enfants peuvent avoir un métabolisme ou des tailles très différentes. Nous avons mélanger nos gênes depuis très longtemps… Nous pouvons dès lors aussi bien rencontrer des familles Dalton (selon la représentation de Morris et Goscinny) qui se ressemblent tous et des familles dans lesquelles pas un enfant ne ressemble à ses parents ou à ses frères et sœurs.

Depuis deux milliers d’années surtout, les populations européennes se sont mixées les unes aux autres notamment par les différentes guerres puis se sont mélangées à des allochtones d’origine plus lointaines. De ce fait, nous avons perdu ce que nous pourrions appeler notre identité alimentaire. Pendant des milliers voire des dizaines de milliers d’années auparavant, les populations se trouvaient dans des zones déterminées et se sont acclimatées à celles-ci notamment pour leur alimentation. Les populations des plaines ne mangeaient pas de la même manière que ceux des montagnes. Les populations du nord de l’Europe ne mangeaient pas ce que mangeaient les populations du Sud. Certains humains primitifs étaient sans doute plus carnivores que d’autres. Ceux-ci ne mangeaient sans doute qu’une seule fois par jour alors que d’autres plus végétariens mangeaient plus régulièrement. Il n’y a donc pas un seul régime alimentaire. Celui qui vous affirme avoir LE régime idéal pour chacun n’a sans doute pas encore bien compris la complexité humaine mais sans doute a-t-il compris la dépendance financière que cela représente (…). Il faudra apprendre à se connaître et à écouter son corps pour comprendre comment il fonctionne. Il faudra observer les réactions du corps selon le type d’aliments que vous ingérez. Un bon nutritionniste devrait pouvoir vous aider à mieux comprendre votre mode de fonctionnement si vous avez été comme la plupart conditionné à ne pas écouter votre corps.

Les enfants généralement, ne mangent que ce qui est nécessaire et bon pour eux mais cela peut changer très rapidement s’ils ont en face d’eux la bonne grand-mère qui pensent devoir nous faire ingurgiter de tout en peu de temps comme l’ont décrit déjà quelques humoristes (…).

à suivre certainement

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