Sport : pilate, pompage, etc.
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Les pompages comme tout sport, se fait en respectant les règles élémentaires de tout exercice.
Avantages
Les pompages, qui ne sont pas un sport en tant que tel, mais un mouvement parmi d’autres, pourraient être s’ils sont bien exécutés et selon des amplitudes différentes, le plus adéquat des exercices de renforcement d’une thérapie comportementaliste physique.
Un pompage s’exécute convenablement ou ne se fait pas.
Dans des conditions similaires à l’animation ci-dessus, le renforcement réalisé se fera en parfaite symétrie tout en maintenant une bonne bascule du bassin (sauf pour ceux qui ont le dos peu creusé) et en tirant légèrement les épaules en direction des hanches. Si tel n’est pas le cas, il ne serait pas impossible dès lors que le pompage soit responsable d’une partie des maux survenant juste après la séance ou le lendemain.
Si nous n’avons pas la force de réaliser un pompage comme décrit ci-après, pratiquons plutôt un pompage 4 pattes. La difficulté sera accrue de la même manière que dans ce qui est décrit pour le pompage traditionnel.
Le pompage se fait mains positionnées sous la hauteur du visage. Les positionner plus haut, plus bas, plus rapprochées ou plus éloignées qu’à hauteur du visage amèneraient une augmentation de la difficulté.
Le pompage traditionnel correspond à se mettre droit comme une planche pour la plupart d’entre nous, bras pratiquement tendus.
Au départ, le menton est rentré. En fléchissant les bras, même si c’est très difficile, cette position de la tête doit être maintenue tout au long du mouvement.
Ceux-ci n’ayant que peu de courbures en général dans la région thoracique, chercheront à bomber la partie thoracique durant le mouvement. En position redressée, le tronc sera propulsé le plus haut possible (épaules s’enroulent).
Durant un pompage, les mains ayant été parfaitement placées symétriquement par rapport à notre nez et le milieu de nos pieds par exemple, se fera en fléchissant les bras sans que les fesses, le tronc ou la tête ne partent d’un côté plus que de l’autre.
Pour accroître la difficulté des pompages, il suffit de réaliser une série puis une autre en écartant ou en rapprocher les mains.
Les mains l’une contre l’autre, le pompage sera réalisé soit en écartant les coudes, soit en les tenant proches du corps. En mettant les coudes contre soi, ce sont principalement les triceps (muscles à l’arrière du bras) qui travailleront alors que si les coudes restent écarter, c’est une synergie de plusieurs groupes musculaires qui réalisent le mouvement.
Une autre manière d’accroître la difficulté est de placer les mains plus loin que la tête et en fléchissant les bras, d’essayer toujours de rapprocher le nez du milieu des mains.
Inconvénients
Si le corps n’est pas déjà trop saturé, si la bascule du bassin est bien respectée, si les épaules sont maintenues légèrement tirées vers les hanches, ce genre de pratique douce ne présente pas de grands risques.