Psycho : Se garer
Attention à lire les consignes avant de lire toute page d’un site santé !
Avant ou arrière telle est la question
Vous comprendrez aisément que la photo n’est destinée qu’à séduire certains profils ou interpeller d’autres qui auraient voulu voir un vélo dans la représentation (humour). Si cette boutade ne fait pas sourire du tout, faire un tour du côté de la page en lien permet de mieux comprendre pourquoi, nous le relevons.
Dans le cadre des objectifs du site, nous avons placé la page Se garer dans la rubrique Psycho car la conduite reflète une part de ce que nous sommes. Se parquer ne déroge pas à la règle même si la conduite sur route et autoroute nous apporte plus d’informations encore sur la nature d’un conducteur (développement psy ultérieurement) ; la conduite sportive sur circuit est une action à analyser distinctement.
Nous n’évoquons pas le stationnement dit longitudinal en détails mais celui transversal. Le premier nécessite surtout de bien comprendre que la manœuvre doit se faire en positionnant la tête correctement (menton légèrement rentré, etc.) pour préserver la nuque et le dos.
La réflexion qui suit sur le stationnement transversal devrait aider également les municipalités et communes à faire des choix plus judicieux au niveau des stationnements dit en épi (oblique).
La plupart des conducteurs adoptent la version marche avant pour différentes raisons. Ce qui ressort dans une zone commerciale est le besoin de placer les courses dans son coffre après avoir effectué ses achats. Ce positionnement peut être considéré comme logique et essentiel corporellement puisque cela évite en partie de se tordre lors du remplissage.
Par contre, la réflexion est autre quand il s’agit de stationner chez soi. En effet, même s’il nous arrive de rentrer chez soi après des courses, ce n’est pas pour autant que la version Nez en premier est la meilleure des solutions. Il s’agit en réalité d’une version ne nécessitant pas de véritable(s) réflexion(s). Nous n’avons pas envie de réfléchir après une journée de travail ou de tâches diverses. Ce manque de volonté qui n’en est pas un véritable, peut être considéré comme naturel animalement parlant mais il entraîne assez régulièrement des difficultés physiques et même psychiques lors du redémarrage.
Quand nous arrivons près d’une zone de stationnement, nous sommes obligés en principe de regarder qu’il n’y a personne derrière soi et de mettre notre clignotant afin d’éviter de se retrouver avec un colle-au-cul frustré ou distrait au moment de stationner. En arrivant, nous sommes en mesure de voir ce qui nous entoure. Le lendemain par contre, en reprenant notre véhicule dans cette position, nous ne pouvons pas forcément voir aisément les voitures arriver. Ne pouvant pas compter sur l’altruisme matinal de chacun, selon la voie sur laquelle nous tentons de nous insérer, nous pouvons rester un temps considérable à attendre le bon vouloir d’autrui. Ce qui entraîne dès le début de la journée un stress chez certains et peut-être des conséquences sur l’entourage privé comme professionnel (…). De plus, comme la nuque n’est souvent pas encore échauffée, il n’est pas rare que le torticolis matinal commencer durant cette manœuvre prolongeant la rotation de la tête intensément (même si la posture nocturne est la cause première la plupart du temps).
Préférez donc d’anticiper suffisamment pour éviter le fameux colle-au-cul (souvent distrait et parfois frustré) en plaçant votre clignotant (indicateur) à temps, pour assurer une marche arrière dans ce type de stationnement. Vous éviterez ainsi le stress matinal et les risques pour la nuque (cervicalgies) mais également pour le dos (lombalgies ou dorsalgies).
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