Psycho : génophilie
Attention à lire les consignes avant de lire toute page d’un site santé !
Même s’il est dangereux de résumer des éléments complexes, surtout dans le cadre de la santé mentale, nous devons aborder plusieurs points de sociologie que nous devrons écourter pour l’instant. La génophilie, terme personnel de Monsieur Liégeois Frédéric, est le fait d’accorder de l’importance aux gênes dans les familles, dans la Société mais indirectement à notre histoire et à notre Histoire.
Nous devons souligner à quel point cet élément est fondamental dans la construction identitaire et à quel point, s’il s’avère le ciment de certaines familles, il peut être, parmi les différentes influences, la source principale de troubles psychiques dans d’autres qui ne suivent pas le schéma le plus courant (considéré comme normal par certains).
Nous vous invitons à lire la page Mots qui blessent avant de lire ce qui suit notamment pour comprendre une partie de notre insistance à limiter l’usage de certains mots liés à ladite génophilie.
Notre animalité nous pousse initialement à accorder de l’importance à notre descendance génétique (voire à exclure la descendance de l’Autre) mais la vidéo ci-dessous (et celles en lien avec celle-ci) nous montre à quel point cela devrait être inutile. Nous pouvons défendre notre culture mais certainement pas nos gènes.
N’abonne pas ta vision culturelle mais n’abandonne pas ta vision naturelle …si tu es empathe.
Supprimer cette étape de l’inconscient collectif permettrait non seulement d’éviter des conflits mais aussi que des enfants ou adultes puissent se (re)construire dans les situations de familles dites moins conventionnelles telle que :
- familles divorcées dans lesquelles il y a ou non recomposition des ménages
- familles monoparentales dans laquelle un beau-père ou belle-mère potentielle souhaite apporter l’amour que le géniteur manquant n’a pas souhaité donner
- familles adoptives dans lesquelles l’adopté se centre sur l’abandon plus que l’amour reçu
- géniteurs confiant leur progéniture
- familles dans laquelle un écart à entraîné la naissance d’un enfant non génophilique
- enfants issus de l’insémination
- familles homosexuelles
- la lionne qui a compris comment éviter de voir ses petits tués (comprenne qui pourra…)
Nous nous contenterons d’une seule page pour l’instant mais sans doute, que les écrits parallèles et restant à écrire rempliront tout au moins un chapitre d’un prochain livre.
Ecoutez cette musique pour comprendre les besoins d’un abandon partiel de la génophilie : Y’a pas que les gènes qui font les familles (Vianney)
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