Péda : Mort de l’humain par l’IA
Attention à lire les consignes avant de lire toute page d’un site santé !
Les défenseurs et les détracteurs de l’intelligence artificielle sont-ils sur la même longueur d’ondes ?
N’est-ce pas surtout une différence de points de vue par méconnaissance de l’adaptabilité est surtout de l’inadaptabilité des êtres aux changements de situation et surtout d’habitudes ?
Campé voire dressé par des habitudes familiales et/ou sociétale, sous influences donc, l’être humain en a perdu bien souvent une part ou la totalité de son adaptabilité. À force d’être dans le confort et la facilité, l’être humain est devenu réfractaire au changement dans bien des cas. L’origine de cette forme de difficultés voire de moutonnerie, s’explique dans une page plus détaillée qui fera peut-être mal aux croyances qui s’imposent au cours du temps comme nous le voyons notamment dans la page L’heure de manger ou celle du paradis.
Pendant des siècles, nous avons pensé que les métiers intellectuels ne pouvaient disparaître pendant quelques décennies nous avons imaginé que seules les professions manuelles peu qualifiées pouvaient disparaître. Aujourd’hui même s’il ne semble pas encore possible de se passer d’un plombier ou d’un électricien, on commence à comprendre que certaines tâches pourraient disparaître comme celle de certaines étapes de comptabilité, mais également de certains formations mais également de certains diagnostics notamment radiologiques ou la machine, l’IA, ne loupera pas une différenciation cellulaire anarchique nonométrique (…) là où l’être humain ne serait capable que de voir qu’un amas bien plus grand et avec bien plus de temps.
Est-il si important ou grave de voir une partie de notre réflexion et de nos tâches professionnelles être réalisées par une machine ?
Ne vaudrait-il pas mieux s’interroger aujourd’hui sur notre manière d’envisager de ne pas s’adapter aux nouvelles situations ? Ne serait)il pas plus efficace de comprendre ce qui nous a amené à être réfractaire aux changements ? L’école ? Les parents ? Les religions ?
N’est-ce pas la peur inconsciente de ne pas être indispensable, d’être remplaçable qui pose problème ?
Ne vaudrait-il pas la peine de comprendre qu’il faut apprendre plus encore à apprendre, à analyser et à s’adapter ?
Pour cela il faut que les politiques et les professeurs s’adaptent aux changements et le fassent accepter aux différentes formes d’électeurs (…). Ces 3 catégories d’intervenants ont plus d’une fois prouver leurs difficultés à s’adapter. C’est la raison pour laquelle, nous pouvons avoir peur de l’arrivée massive et rapide de l’IA. Seuls ceux qui bénéficient de ce talent aujourd’hui pourront survivre et bénéficier des avantages de cette technologie s’il n’y a pas de guidance vers une augmentation de l’adaptabilité. Ceux qui ne sont pas dans l’adaptation mais dans son utilisation primaire risquent d’en devenir paresseux et seront d’emblée remplacé par une machine.
Apprendre à apprendre et apprendre à s’adapter sont sans doute les deux priorités pour l’enseignement… et réaliser une belle métacognition par ceux qui se disent intellectuels en restant réfractaires aux changements (…).
Il n’y a pas de mort de l’humain mais la mort d’une réflexion à ceux qui ne se réveillent.
(…)
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