Psycho : parents et enfants
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La partie concernant les difficultés corporelles liées à la parentalité n’est pas à négliger dans la fatigue psychique et dans le cercle vicieux dans lequel beaucoup de personnes entrent au moins une fois dans une période de leur vie. Ces difficultés physiques sont/seront développées dans un chapitre spécialement dédié.
La parentalité pourrait être définie comme étant le fait de s’occuper de un ou plusieurs enfants que l’on accompagne dans l’espoir de les porter vers le haut et l’autonomie (…). La parentalité est un rôle et donc un devoir plus qu’un droit. Il n’y a de parentalité et de reconnaissance à avoir pour un parent que s’il a fait son possible pour se rapprocher de ce rôle tout en ne pouvant éviter les erreurs auxquelles toute personne est confrontée ; erreurs d’interprétations, de calendrier, de choix divers, etc.
Cette entrée en matière sera expliquée plus en détails après les conclusions de notre étude et de celles que nous pensons qu’il est important de relever pour éviter la souffrance apparemment croissante de beaucoup de jeunes et moins jeunes, de parents et en fin de compte d’un nombre important directement ou indirectement impactés par les difficultés d’autres (…). Ces conclusions devraient aboutir en 2025.
D’autres textes traitant de la psychologie générale de l’éducation seront émis bien avant cela…
Étant donné les dérives par certains élèves de la culture doltiste (…) et les éléments défendant la toute puissance masculine et les actes pédophiles par Dolto, n’espérez pas trouver dans notre vision de la pédagogie infantile ou de la psychologie un rapport avec cette dame mais bien avec ceux qui ont écrit sur la pédagogie avant elle tel que Emmanuel Mounier et bien d’autres par la suite telle que madame Béatrice Kammerer qui a bien décanter les dérives de l’éducation positive qui n’est pas à confondre de celle proposée par des pédagogues ou psychologues en équilibre comme monsieur Jacques Lecomte.
Les axes précités dans la chapitre Corps psychique auront selon nous, une importance dans les étapes de l’éducation mais ne doivent pas empiéter sur la qualité naturelle d’un ressenti d’une personne n’ayant pas été trop blessée par la vie. Comprendre ses propres blessures -surtout en tant que parent (éducateur)- et la difficulté d’objectivité que celles-ci peuvent entraîner permettrait de ne pas transposer « de trop » ses craintes et blessures tout en protégeant son enfant dans un équilibre (…).
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