Exemple psycho : affection aristo-générationelle
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Madame X, née dans une famille aristocratique n’avait reçu comme éducation que celle retranscrite dans certains livres ou films traitant d’une aristocratie anglaise ou française ne s’occupant pas ou peu de son enfant ou plus précisément ne montrant pas d’affection tactile avec leurs enfants.
Cette patiente, en le racontant à ce stade, ne présentait aucune difficulté à exprimer ce qu’elle avait elle-même vécu. Ses amies de l’époque, dans une école dans laquelle la mixité sociale était loin d’être une réalité, vivaient apparemment le même type d’éducation. Il est évident qu’il n’était pas encore non plus convenant de confier parfois d’autres tristes réalités (…). Cette dame ne semblait vraiment pas en avoir souffert car le vécu durant son enfance était assez similaire à celui de ses amies. La norme de notre animalité grégaire ne crée de souffrance que si nous n’arrivons pas à suivre ou à comprendre ladite norme voire si nous ne voulons pas la suivre (…).
N’ayant donc pas souffert de cette situation dite normale, elle éduqua sa fille de manière comparable. Seulement, sa fille vivant dans une Société et une école ayant évoluées, celle-ci ne le vit pas aussi facilement. Au contraire, elle soufra durant des années de ne pas être cajolée comme ses camarades puis comme ses amies adultes.
La patiente ne détailla pas cette souffrance mais que sa fille se fit suivre par une psychologue peu de temps avant d’envisager d’avoir un enfant. Cette thérapeute proposa à sa patiente, la fille de celle dont nous parlons, de confier rapidement l’enfant dans les mains de sa mère lorsqu’il sera né.
À ce moment de l’histoire, la voix de cette dame commença à vibrer légèrement et les yeux à se baisser. Ils laissaient entrevoir une humidité croissante et semblaient communiquer avec les miens. Lorsque sa fille accoucha, sa fille lui demanda de prendre son enfant nu dans les bras puis de lui étaler délicatement de la crème sur le corps.
»C’est à ce moment-là que je me suis rendue compte des années que j’avais perdues » dit-elle avec tristesse mais avec une joie indicible tout de même.
Grâce à un seul acte et une bonne préparation d’une thérapeute ayant vraisemblablement réussi à mettre en perspective une époque, une éducation, etc. , sa fille lui pardonna cette longue période de vie.
Elles se sont elles deux retrouvées grâce à une troisième génération…
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