Psycho : stress choisis ou non

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Le stress est celui qu’on subit et/ou qu’on se donne

Même si sans doute faudra-t-il un chapitre prolongé pour parler de l’ensemble des stress, ce que nous pouvons relever, peut se résumer préalablement en quelques lignes.

Lorsque nous vivons des stress au travail, nous ne pouvons pas toujours tout reporter sur le seul employeur, sur un collègue ou sur l’ensemble des confrères ni non plus sur nous parfois. Chaque contexte est différent et nécessitera en effet un développement ultérieur pour tenter d’envisager chaque cas de figure.

Parfois faut-il aussi voir si nous sommes à la bonne place professionnelle. Est-ce que nous avons visé trop haut voire trop bas ? Est-ce que nous avons bien fait d’accepter cette promotion ? Est-ce que nous sommes dans le bon secteur de travail ? Est-ce que ce métier a du sens encore pour moi ? Est-ce que j’y retrouve un plaisir relationnel ou un plaisir intellectuel ? Certaines personnes donnent plus d’importance à certains éléments qu’à d’autres. Il faut apprendre à se connaître véritablement pour voir ce qui nous correspond…

Par contre, ce que nous observons beaucoup depuis une vingtaine d’années sont les stress qu’on se donne et qui finalement nous pèsent. Quels sont-ils ? Là également, ce n’est qu’un résumé… Est-il nécessaire lorsqu’on a des enfants que chaque enfant, même si on a les moyens, fasse 2 sports, une activité artistique, et fasse des activités avec d’autres amis ? Si on a ne fut-ce que deux enfants, les parents courent après le temps en permanence et jouent les taxis au point parfois de ne plus se retrouver. Une bonne part des divorces sont liés à ces choix et ces modes de fonctionnement non apaisés. Courir entraîne un essoufflement physique et moral à un moment ou à un autre…

Est-il normal de courir après les dernières technologies, après la mode, après les likes, etc. ? Toute ces courses, nous empêche de profiter aussi d’instants simples. Nous avons côtoyés énormément de nonagénaires et d’octogénaires (même quelques centenaires). S’il est vrai que l’égalité homme-femme n’était que rarement présente dans cette génération, hormis ce facteur, nous avons pu constater que beaucoup de ces personnes étaient plus posées que ne le sont aujourd’hui une bonne part de ceux qui liront ces quelques lignes. La sagesse en vieillissant intervient sur cette forme de sérénité mais en réalité, en les questionnant, les stress existaient mais étaient moins nombreux ou moins présents…

à suivre prochainement

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